Au sein des tumeurs cérébrales de grade IV (Glioblastome), certaines cellules tumorales migrent préférentiellement vers des régions spécifiques du cerveau qui les préparent ensuite à mieux résister aux assauts thérapeutiques.

Depuis quelques années, on sait qu’il existe des liens entre synthèse et dégradation de l’ARN. Mais on n’avait pas encore identifié de protéine qui pourrait connecter les deux processus. C’est chose faite aujourd’hui.

Des chercheurs découvrent une variété d’éosinophiles qui agissent tout en amont de la cascade inflammatoire en inhibant l’activation des cellules dendritiques responsables de la réponse aberrante du système immunitaire.

Des chercheurs du GIGA-Neurosciences suggèrent qu’il pourrait y avoir une corrélation entre la plus grande présence de certains canaux ioniques sur les neurones de la substance noire et le développement de la maladie de Parkinson.

Une nouvelle publication du GIGA fait un pas de plus dans la compréhension de la construction du cerveau. Le mécanisme révélé pourrait, à long terme, devenir une cible pour des traitements de certaines maladies neurologiques.