Des chercheurs du GIGA-Neurosciences suggèrent qu’il pourrait y avoir une corrélation entre la plus grande présence de certains canaux ioniques sur les neurones de la substance noire et le développement de la maladie de Parkinson.

Pulvériser, une action sans doute banale mais qui est surtout très complexe. Une thèse de doctorat s’attarde sur la rétention des gouttes par les feuilles.

Une nouvelle publication du GIGA fait un pas de plus dans la compréhension de la construction du cerveau. Le mécanisme révélé pourrait, à long terme, devenir une cible pour des traitements de certaines maladies neurologiques.

Des recherches menées à l’ULg soulignent l’inadéquation voire l’incongruité de fixer une dose « seuil » de toxicité en fonction de la puissance d’un agent chimique comme le Bisphénol-A.

La grande variabilité des graines de l’Ambroisie lui permettrait de se développer dans une large gamme de milieux, y compris des environnements plus froids. C’est-à-dire chez nous !